On quitte la
douce région de Vinales pour aller se poser quelques heures sur 20km de plages
de sable blanc et à l’eau turquoise (avec un petit stop par le restaurant
d’Hemingway… « mais il a écrit quoi déjà Hemingway à part le vieil
homme et la mer ? » – il est temps qu’on rentre pour reconnecter les
neurones :-)… C’est censé être le point le plus touristique de Cuba avec
des hôtels à perte de vue… on a du bol (ou alors on avait bien organisé le
timing ;-) car on est quasi seul et depuis 1 an les locaux ont le
droit de proposer des chambres chez l’habitant dans cette ville (jusqu’à
présent c’était interdit pour ne pas concurrencer les grands hotels d’état)!
Bref notre
sandwich à l’omelette (c’est un concept) à la main nous arpentons Varadero et
sommes assez choqués par le vide dans les « supermarchés » et surtout
par la grande difficulté à acheter des fruits et légumes (d’accord ce n’est pas
encore la pleine saison des fruits mais on voit bien que dans les restaurants
il n’y a pas que des racines! – nous avons l’impression que pour se fournir en
fruits et légumes il faut : soit en avoir dans son jardin, soit choper le
marchand ambulant quand il passe devant la maison et espérer qu’il ait un peu
de verdure, soit sortir des villes…pas forcement des plus pratiques).
Juste le temps de
prendre quelques couleurs, de barboter un peu dans cette eau « un peu trop
tiède » pour Mika, de jouer avec le bébé chien de notre casa particular
(qui a failli se retrouver dans la valise de Anne…) et nous avons dû repartir.
Durant cette journée chrono nous avons quand même eu le temps de faire un petit
stop à la plus vieille pharmacie française en état de Cuba (un vrai bijou ou
l’on mettait entre 2 et 3h pour produire un médicament et où l’on a pu
découvrir à quoi ressemblait un moule à suppositoire, un ancien
électrocardiogramme, etc.) ainsi que dans une grotte où la légende raconte
qu’un jour un américain (comme par hasard ;-) y est rentré et jamais
ressorti !
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