- Les gens vivent principalement dans la rue ou sur le perron toute leur journée et ne rentrent que pour manger et dormir (la rue devient alors l’extension de leur salon)
- Quel gâchis de voir de si beaux édifices maltraités par tant de vétusté… Il existe un contraste frappant entre les vieilles belles bâtisses coloniales et leurs restes décrépis
- On voit peu ou pas de misère bien que d’un point de vue occidental ils manquent de beaucoup de choses. Mais eux, qu’en pensent-ils ? ont- ils l’essentiel (logement, nourriture bien que sans grande variété, éducation, santé, …) et est-ce finalement suffisant ? ou rêvent-ils de combler d’autres besoin (liberté d’expression, d’information, de circuler librement, d’association politique, d’accès aux joies de la société de consommation, …)
- En tout cas certains points sont très positif d’un point de vue touristique, peu de choses à acheter = peu de détritus visible, peu de voiture = pas d’embouteillage, pas de panneau publicitaire…
- Le pittoresque de cuba c’est aussi ces routes que se partage les vieilles voitures américaines, les cavaliers, les calèches, les cyclistes, les camions ou les bus bondés de locaux, les marcheurs et autostoppeurs et d’exceptionnelles charrettes a bœufs
- L’omniprésence de slogans et peintures à l’effigie de la révolution se font remarquer parfois, sans pour autant tomber dans le culte de la personnalité (au final, bien peu de grandes photos ou sculptures de Castro mais bien plus du Ché)
- Le CDR = comité de défense de la révolution
- Le salaire moyen est censé être d’environ 15 à 20 euros par mois alors qu’un déjeuner moyen pour un touriste est d’environ 7-8 euros ! Rarement on aura vu un tel écart de richesse !
- Merci la geely geely chinoise qui ne nous a pas encore planté bien qu’elle tire méchamment à gauche, que le volant n’est pas droit, qu’il y a du jeu quand on braque, que tous les plastiques sont moisis, qu’elle a du mal à démarrer, et qu’on a manqué de se couper un doigt à chaque ouverture de portière…
- Nous gardons un très bon souvenir de la ballade a cheval de 4h dans les mogottes et les terres rouges de Viñales (nos postérieurs ne partagerons peut-être pas cet avis) et de la gentillesse et la discrétion des gens des maisons d’hotes (casa particular).
- Un souvenir un peu plus amer des innombrables sollicitations parfois très insistantes en tout genre des cubains (ils sont tous égaux mais certains le sont un peu moins) qui cherchent à améliorer leur quotidien (« la lucha ») en dehors du cadre de leur système économique (demande d’argent, de nourriture, de lait pour bébés, de stylos, de savons, propositions de services de guides, de porteurs, de renseignements, de logement, de cuisine, de danse, trafic de cigares, de rhum, …)
Conclusion :
le capitalisme c’est l’exploitation de l’homme par l’homme et le communisme est
exactement l’inverse !
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