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Bon la situation
économique ne fait pas rêver tout le monde (c’est peu dire) mais les cubains ne
semble pas manquer de l’essentiel pour survivre (un toit pour tout le monde,
des tarifs préférentiels pour achat de la nourriture très basique, …). Après le
mode socialiste commence franchement à s’effriter et on ne voit plus trop ou
est l’égalité entre ceux qui en campagne gagne durement 10 euros par mois et
ceux qui (au contact du tourisme, du monde extérieur, ou de l’on ne sait quoi)
vivent bien plus confortablement. De manière général, on a tout de même
l’impression que tous cherchent le moyen de faire un peu d’argent à la limite
ou en dehors de leur système économique.
Pour le touriste,
qui saura s’accommoder des incessantes sollicitations, cuba est une destination
unique et idéale pour les amoureux de voitures anciennes, de musique endiablée,
de villes coloniales, de paysages tropicaux, de sable blanc, d’eau turquoise,
de soleil et de fesses rebondies !
Ce qu’on a
aimé :
- Le grand sentiment de sécurité (peut-être, relativement aux pays d’Amérique centrale d’où nous venions)
- Les belles régions de Viñales et de Baraco
- Les possibilités de balades à cheval et rando pour s’enfoncer dans le cœur du pays
- L’accueil très chaleureux des hôtes de casa particular
- Les villes de Trinidad et de La Havane, qui semble figées dans le temps
- La forte présence de groupe live (places, restos, bars, …)
Ce qu’on a moins
aimé :
- Le très faible répertoire des groupes de musique live, comme si il n’y avait que 5 chansons cubaines sympas et toutes de Buena Vista Social Club
- Les sollicitations en tout genre, dont certaines vraiment trop insistantes / malhonnêtes
- L’apartheid touristes / locaux (bus, certains resto, poste, salle d’attente, …)
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